Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon EV6.5 : où trouver le ...
Voir le deal

 

 James Galdstone [Accolyte]

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
James Gladstone
Médecin
James Gladstone


Messages : 3
Date d'inscription : 08/10/2009

James Galdstone [Accolyte] Empty
MessageSujet: James Galdstone [Accolyte]   James Galdstone [Accolyte] Icon_minitimeSam 10 Oct - 19:39

Prénom : James

(Nom) : Gladstone

Statut : Acolyte

Âge et date de naissance : 13 janvier. 28 ans

Origine : Angleterre

Couleurs des yeux : bruns clairs presque rouges (qui a dit Gary Stu ? X3)

Couleurs des cheveux : Noir de jais

Taille : 1m82

Description physique : Grand et fin jeune homme aux cheveux d’un noir de jais qui lui retombent sur le visage. Un poil longs, lesdits cheveux, mais qui s’en soucie ? La froideur de son regard contraste avec la couleur chaude de ses yeux. Mais on ne choisit pas vraiment son apparence, et à l’Eden Palace, mettre des lentille est une idée qui ne peut traverser la tête qu’à un égaré.
Les mains glacées en permanence, il ne supporte pas qu’on le touche et ne touche pas non plus les autres, de peur de prendre leur chaleur peut être ?
Il est asthmatique et porte en permanence autour du cou un inhalateur, caché sous ses chemises noires. Les crises ne sont pas fréquentes en ce lieu mais il ne veut pas risquer de perdre son ascendant sur les égarés pour de simples faiblesses dont il n’est nullement responsable.


Caractère : Toujours vêtu de noir et nourrissant de noires idées, James est peu loquace et le grognement reste sa méthode de réponse favorite. Libre à son interlocuteur de l’interpréter. Mais lorsqu’il s’agit de pousser les égarés dans leurs derniers retranchements, il se fait bavard, éloquent, et excité. Il se complait dans le mal et la médiocrité parce qu’au fond de lui, il se sait lâche et se hait. Aussi n’hésite-t-il pas à ternir encore et encore son image en usant de perfides méthodes. Autodestruction programmée ? Très certainement.
Il ne se soucie pas vraiment de la vie. Ni de la sienne, ni de celle des autres. Peu lui importe après tout, avec la vision qu’il a de lui même et qu’il projette dans ce monde.
Les égarés ne sont que des jouets, et quand un jouet casse, on le jette et en prend un autre (je ne parle pas de mort, mais de nervous breakdown, hein j’ai lu les règles)


Histoire : Banale histoire de médecin désabusé. Il était jeune, motivé, on l’a envoyé dans les bas quartiers de la capitale anglaise, pour soigner des gens par paquets, des prostituées, des junkies, des alcooliques, des suicidés ratés… Comment croire encore au pouvoir de la médecine quand malgré vos efforts tous ces désespérés qui ne veulent plus vivre meurent dans vos bras ?
Enrôlé par dépit dans l’armée, pour fuir ces régiments de miséreux qui frappaient à la porte du fatras crasseux qui servait d’hôpital, on l’a envoyé en terrain miné : la guerre. Les enfants frappés par les bombes et les mines, la gangrène, la putréfaction des corps qu’on ne pouvait enterrer… Tout cela était trop pour le jeune prodige qu’il était alors. Impuissant face à la mort et à la cruauté humaine, il rentra en Angleterre.
Noyant son trauma dans l’alcool, il se mit à distribuer des doses de sédatifs beaucoup trop puissantes à ses patients. L’hôpital, tout minable qu’il fut fut alors montré du doigt : le docteur de la mort, ainsi qu’on l’appelait, faisait trop de victimes. Bien que la plupart des gens ignoraient qui était ce docteur, certains dans les hautes sphères du monde médical de Londres n’étaient pas dupes.
Plus les jours passaient, plus le sadisme de James se prononçait. Il ne se contentait plus d’euthanasier les plus faibles, il s’amusait à pousser à bout les patients pour les forcer à se bouger, à continuer à se battre… A sa manière. Jusqu’au jour où une jeune prostituée de seize ans, que James soignait pour des MST variées et de fréquentes rechutes, tout en la poussant à bout sans raison particulière (et se détestant de le faire, se détestant d’être devenu aussi immonde sans pour autant pouvoir s’en empêcher), s’empoigna avec lui assez violemment.
C’était l’été, la canicule sur Londres. La chaleur les avait rendu tous les deux sur les nerfs et l’électricité dans l’air était palpable lors de leur dispute.
Elle l’avait empoigné, en hurlant, saisissant sa blouse blanche pour le secouer, et lui, à cran, l’avait violemment repoussé, au point que, sous l’effet des sédatifs déjà administrés, elle avait titubé, perdu l’équilibre. En voulant se rattraper à la balustrade du balcon de sa chambre (c’était l’été, les fenêtres étaient au large ouvertes pour soulager les patients et faire partir les odeurs) elle était passée par dessus bord, et s’était écrasé sans un bruit, sans un hurlement, cinq étages plus bas, dans une mare de sang, sous les yeux de James qui n’avait pas bougé, horrifié.
Elle était resté là, les yeux grands ouverts et une quantité de tranquilisants puissant dans son sang qui formait une mare sombre autour d’elle, dans laquelle trempaient ses longs cheveux blonds. Une autre victime du « Docteur de la Mort »… Sauf que celle ci avait emporté avec elle la vérité sur son bourreau : en empoignant James, elle avait arraché à l’aveuglette son badge de médecin. Le sang en maculait la plus grande partie, mais une fois passée à l’eau, il n’y eut plus de doutes sur l’identité de l’assassin…
Ceux qui tiraient dans l’ombre les ficelles de la vie londoniennes s’arrangèrent pour étouffer l’affaire. Qui allait se plaindre de la mort d’une putain ?
Mais il n’était pas question de garder James, il était trop instable. Aussi l’envoya-t-on passer ses pulsions à l’Eden Palace… Qui ? Aucune idée. Quand ? Peu importe. La mort de la jeune fille enferma définitivement James dans un état de dégoût de soi profond et intense, tellement prononcé que, n’ayant plus goût à rien et ne souhaitant que sa propre destruction, il s’engagea dans une spirale dévastatrice, accentuant encore son côté ignoble sans même s’en rendre compte.
Il vit à présent dans ces murs sans but précis, sinon exercer son sadisme. La médecine ? Plus qu’un lointain souvenir. Sauver des vies… La bonne vanne. Les détruire demande plus de génie et suscite plus d’émotions chez James que ces lointains idéaux auxquels il a cru… Il y a des siècles, lui semble-t-il.
Il a troqué la blouse blanche contre les vêtements sombres et la charité contre le sadisme et le dégoût de soi.


Autre : 8D
Revenir en haut Aller en bas
Eurynome Vangard
Directeur
Eurynome Vangard


Messages : 18
Date d'inscription : 08/10/2009

James Galdstone [Accolyte] Empty
MessageSujet: Re: James Galdstone [Accolyte]   James Galdstone [Accolyte] Icon_minitimeSam 10 Oct - 19:41

Bienvenue cher confrère... Huhuhu
Revenir en haut Aller en bas
https://edenpalace.kanak.fr
 
James Galdstone [Accolyte]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Avant de jouer :: Présentation des personnages :: Fiches validées-
Sauter vers: